En premier lieu, et c’est assez logique, il faut se demander quelle est la surface disponible allouée à la construction de ma véranda. Ce prérequis dépend de votre volonté propre : quelle part du jardin voulez-vous consacrer à cette nouvelle extension sans que cela ne rogne sur vos autres projets d’aménagement actuels ou futurs (aire de jeu, piscine, potager, etc.) ?
L’implantation de votre maison peut jouer dans la balance. Une surface tassée contre une surface meuble, un terrain plat contre un terrain en pente… Cette contrainte du terrain dicte parfois l’espace disponible pour ce type de projet.
Autre argument, l’harmonie de votre lieu de vie. La surface de la véranda doit être proportionnée par rapport à la taille de votre maison : ni ridicule, ni trop imposante. Selon la taille et la configuration de votre maison, la même véranda ne s’intégrera pas du tout de la même manière dans votre paysage quotidien. Ainsi, il est important pour l’esthétique globale que l’association des deux soit équilibrée.
Le temps que vous voulez consacrer à ce projet peut vous aider aussi à choisir une direction. Par exemple, l’importance ou non de la durée des travaux liés à ce projet (terrassement, câblage, tuyauterie, contraintes administratives). Ils peuvent vous aider à faire évoluer vos plans en misant sur une autre surface plus propice ou sur une dimension différente.
Le budget que vous souhaitez allouer à votre véranda pourra aussi influencer la taille de votre projet de véranda.
Rappel : Pour toute construction de véranda, n’oubliez pas de consulter le Plan Local d’Urbanisme (PLU) de votre commune, afin de connaître les autorisations nécessaires.